Nous étions 15 au départ du parking de Brochon, que des femmes : aucun monsieur pour cette  rando de remplacement. A notre arrivée, nous avons constaté qu'un autre groupe, assez nombreux, se préparait à partir. Il s'agissait d'un groupe de marche nordique. Avant de démarrer leur parcours, ceux-ci ont fait des exercices d'échauffement (certaines ont cru qu'ils dansaient !!). La randonnée a démarré par la montée des 100 marches de la combe de Brochon, Vers 10 heures, le soleil a essayé de percer le brouillard, y arrivant par moment. Toute la matinée, nous avons alterné entre brouillard et du soleil, comme ce fût le cas pour le repas du midi. Malheureusement, au redémarrage, le brouillard est revenu et ne nous a pas quitté, nous empêchant de voir le point de vue à la table d'orientation de Couchey. Le parcours s'est poursuivi  avec quelques petites montées (qui ont fait râler certaines!) vers l'église de Fixey  et  le Parc Noisot avec le réveil de Napoléon, le buste de François Rude et la tombe de Noisot, puis retour au parking.

Par un temps de brouillard, 20 Adhérents ont parcouru les 12 km du parcours à une allure « détente ».Départ de Vic sous Thil au pied du Serein, le long du sentier quelquescoups de fusil ont retenti au loin, au passage de la forêt de Galafre, la vilaine sorcièrenous a laissé tranquille. Juillenay nous a permis de voir de nombreux chevaux.Après un repas pris à Montlay en Auxois tous alignés sur un mur.Retour tranquille aux voitures, passage sur un pont au-dessus du Soutain, la photo deGroupe a été prise le long de l’étang du moulin Macaire.Le soleil commençait à percer mais pas pour longtemps.

Une grosse vingtaine de kilomètres, sans grandes difficultés, pour ce circuit déjà réalisé le 12 mars 2016. Malheureusement, dans l'intervalle, un chemin avait complètement disparu - labouré - nous obligeant  à un détour comportant malheureusement beaucoup de goudron. La température était idéale, le soleil au rendez-vous, peu ou pas de vent, toutes les conditions d'une bonne randonnée étaient réunies. Après un coup d’œil au château de Darcey et au clocher de son église, penché comme la tour de Pise, nous avons été voir la Douix de Darcey avant de remonter sur le plateau, jusqu'à la rencontre de chasseurs quittant leurs postes, à l'orée du Bois Vert. Ce fut le lieu d'une pause bienvenue, face à un large paysage vallonné, avant de rejoindre La Villeneuve-les-Convers. De là, nous avons sinué sur le plateau puis en descente jusqu'à la très jolie ferme de la Bretonnière et son étang, qui donne naissance au ruisseau de Rabutin. Nous avons suivi celui-ci, en hauteur, avant d'attaquer une bonne grimpette jusqu'à Bussy-le-Grand et son église romane. Nos épreuves n'étaient pas finies, puisqu'il fallut redescendre jusqu'au Rabutin par un très joli chemin automnal, puis remonter vers le château du comte Roger de Rabutin, embastillé pour son "Histoire amoureuse des Gaules" avant d'être exilé ici par le Roi-Soleil. Las, nous n'avons rien vu d'autre que son parking ; il faudra revenir avec plus de temps.

Grosse participation (25) pour cette randonnée détente par endroits…

Première partie intéressante avec : l’église St Saturnin, les ruines des chateaux, de l’abbaye de St Vivant et l’Etang Vergy.

Deuxième partie dans la forêt domaniale de Gergueil il y a eu des passages difficiles au milieu des ronces qui avaient envahi le chemin.

Troisième partie repas sous le perron de l’église de Collonges les Bévy, la pluie commence.

Dernière partie plus tranquille sous la pluie qui nous a obligé de sortir les ponchos et pour finir une belle montée pour rejoindre les véhicules.

La bonne humeur nous a permis d’apprécier cette randonnée.

Ce fut une randonnée innovante, ce dimanche en arrivant à Trouhaut, 1ère route barrée, 2ème et 3ème aussi.Bref on se gare à Fromenteau où passait le circuit, début de celui-ci barré impossible de passer même pour quelques mètres.Nous avons compris pourquoi, un crissement de pneus et une voiture est passée à une allure folle. De ce fait après concertation, nous avons créé un circuit à l'arrache avec une partie ombragée au début, boucle jusqu'aux voitures, puis nous longeâmes la D16 pour essayer de regagner le circuit initial. A la sortie des champs du cheval une traversée de route à faire, mais non sans risque , quelques minutes avant nous avonsassisté à une sortie de route (bon pilote , il a rattrapé sa voiture après un passage dans un champ).Enfin les éoliennes, nous nous sommes restaurés au pied d'une à l'ombre. De nouveau il a fallu adapter afin de ne pas faire trop de kilomètres.Encore une traversée de la course et passage à travers champs à côté de jolis bovins.les 15 km  annoncés n'ont pas été dépassés, bonne randonnée chaude, mais en mangeant il y avait un gros ventilateur.

Une petite virée en Saône-et-Loire, ce samedi, à Montagny-les-Buxy, pour suivre le "sentier des orchidées". D'orchidées, point, mais un joli circuit alternant sentiers ombreux et agréables (mais gare aux ronces baladeuses), chemins blancs plus ou moins ensoleillés et quelques petites routes goudronnées. Nous sommes passés près du monastère des frères de Saint-Jean à Rimont, avant de croiser la route vers la vallée de la Guye et de remonter sur le plateau calcaire, en direction de Bissy-sur-Fley et du château de Pontus de Tyard (en gros, l'un des plus grands scientifiques de la Renaissance française), avec ses tours, son puits, son pigeonnier et son cadran solaire de précision. De là, nous descendîmes jusqu'à Fley pour une halte bienvenue à l'ombre d'un bâtiment voisin de l'église. Le chemin zigzaguait ensuite jusqu'à la fraîcheur du lavoir des 9 fontaines, avant de remonter la Combe d'Arches, par un sentier étroit, bien abrité du soleil. Il laissa place, malheureusement, à une piste agricole plus exposée (env. 35° ?) qui mit à plat deux d'entre nous, qu'il fallu ensuite dépanner en revenant les chercher en voiture. Avant cela, le chemin tutoyait le rebord de la Côte chalonnaise, qui commençait de se voiler de brumes et de nuées d'orage, avant de redescendre sur notre point de départ. Pas de chance, l'eau de la fontaine communale était non potable !

13 randonneurs au départ de Pommard ont parcouru un peu plus de 21 kms pour cette randonnée estivale, à allure modérée compte tenu de la chaleur. Notre itinéraire, dont une partie sur le GRP des Grands Crus, nous a conduits au hameau des Creux de Plains Mont et la Forêt, en surplomb du village de Volnay et les vignobles "élégance des Volnay», puis vers la ferme de Marjolet, jusqu'à la montagne de Sampeau, point culminant de la randonnée. Nous sommes redescendus tranquillement sur Pommard, par un sentier au-dessus de l'Avant Dheune.Les chemins majoritairement en forêts nous ont aidé à supporter la chaleur, tandis que d'autres, très peu fréquentés, envahis de grandes herbes, ronces et insectes ont été moins agréables.

La fontaine de l'Artichaut, place de l'Eglise, à notre arrivée fut très appréciée !

Une randonnée de type "détente" (à peine plus de 15 km et 3,4 km/h de moyenne), exclusivement forestière et partiellement réchauffée par quelques vrais rayons de soleil. Nous avons suivi une large partie d'un circuit balisé en jaune, complété par des sections un peu plus aventureuses, malheureusement caractérisées par des lignes forestières refermées par la végétation ou abandonnées depuis plusieurs années. Heureusement, le dieu GPS est toujours là pour nous mener à bon port, y compris à travers une futaie. Nous avons pu repérer au passage de nombreux champignons, dont les curieux Anthurus d'Archer en forme de poulpe rouge et nauséabond, des cèpes (trop vieux) et quelques rares girolles. La récolte fût peu abondante, mais le circuit nous a néanmoins rendus heureux et prêts à revenir

Rien ne nous fût épargné, pour cette première randonnée de l'été 2024 : pluie continue, chemin enherbés ou transformés en ruisseau, arbres et branches abattus obligeant à de nombreux écarts, orties et ronces florissantes, passerelle pourrie, chemin ou sentier inexistant (à retenir : ne jamais, jamais, se fier aux parcours Visorando), absence totale d'abris, et j'en passe. L'heure du pique-nique arrivée, après un bref conciliabule, nous préférâmes rentrer directement à Boussenois par
la route et y manger à l'abri d'un lavoir asséché (c'était bien le seul !), que nous avions repéré à l'aller. Tous les participant(e)s
d'aujourd'hui se voient décerner la médaille d'or du courage pédestre ! Félicitations ! On croise les doigts et on espère très fort parvenir à faire une randonnée intégralement ensoleillée avant la fin de l'année...

Randonnée au départ de Nantoux avec 13 participants, temps clément et chemins pas trop boueux malgré la pluie de la veille. Une petite boucle bordée de géraniums sauvages et d’orchidées pyramidales (dont une blanche) nous a permis de rejoindre Nantoux côté est. Ensuite une bonne montée jusqu’à la chaume de Nantoux où nous avons une vue sur Bouze les Beaune.

Le long des vignes nous avons même vu le roi Bacchus coiffé de sa couronne. Arrêt repas avec un point de vue sur Mavilly et des rochers pour s’asseoir, où nous avons fêté l’anniversaire de Françoise (bien sûr avec modération).Dans la descente du retour nous avons modifié un peu le parcours pour prendre le sentier « découverte » où il n’y avait pas grand-chose de plus à découvrir.

Merci à Nathalie d’avoir guidé cette randonnée.

Au final, une rando un peu plus longue que prévue, très humide, mais bien agréable. Il ne reste plus qu'à tout faire sécher...

Le parking où devions nous garer étant squatté par les gens du voyage, nous avons stationné sur le parking du LIDL, ce qui a un peu rallongé le parcours.Après une longue ligne droite goudronnée sur la voie Grévy, nous avons pris un chemin blanc après un petit passage périlleux entre les deux pour rejoindre Goux.Entré dans la forêt de Chaux nos copains les moustiques nous ont dévorés.Les chemins sont devenus de plus en plus boueux, et il a même fallu traverser un ru.Il y avait également un concours hippique et les chemins empruntés par les chevaux étaient assez compliqués.La fin du parcours a été légèrement modifiée afin de rejoindre plus facilement notre lieu de stationnement et de marcher sur des chemins moins difficiles.

La pluie très légère nous a un peu accompagnés après le repas, alors qu’au loin les grondements du tonnerre se faisaient entendre.En bref 17 participants ont parcourus les 18 km sans dénivelé important le tout dans la bonne humeur.

Partis sous un ciel incertain de Fleurey-sur-Ouche, nous avons pris la route d'Urcy, puis la piste vers Clémencey, sans être arrosés. L'ascension vers le Plain de Suzâne, par la ferme ruinée de Charmois, s'est avérée glissante et fatigante, tout comme le sentier de rebord de plateau, autour de la "Roche Pompon", compensé par le beau point de vue. Bien que le soleil nous fasse de timides clins d’œil, nous avons choisi de descendre pique-niquer confortablement à la ferme du Leuzeu. Revers de la médaille, il a fallu remonter sur le plateau, avant d'atteindre le col du Leuzeu, en évitant celui de Mialle, inondé. De là, un interminable chemin creux nous a ramené vers la carrière Eqiom de Fleurey, avec un arrêt pour cueillir du muguet qui couvrait un ancien four à chaux. Le retour, le long de l'A 38, fût moins agréable. Arrivés aux voitures, catastrophe : Florence s'est rendue compte qu'elle avait perdu sa doudoune avec les clefs de la voiture dans la poche, quelque part quand elle était en queue de peloton. Nous avons pu rentrer à cinq dans les voitures restantes. Puis, après qu'elle ait récupéré chez elle
le double de ses clefs de voiture, Yves et Florence, sont revenus
jusqu'aux carrières et ont repris le chemin en sens inverse, jusqu'à trouver la doudoune (et les clefs) accrochés à une branche, à l'intersection avec le sentier Jean Sage. Ouf ! Seulement 4 km de plus et tout est bien qui finit bien. Une sortie mémorable !PS : Lors de cette randonnée, nous avons appris, avec retard, le décès de Jean-Claude Gindre, qui fut membre du Club Montagne, survenu accidentellement le 22 mars dernier (76 ans).

Nous étions une douzaine du Club à participer à l'étape Gevrey-Chambertin, Chenôve, Dijon (Cité de la Gastronomie) de la Grande Randonnée vers Paris, soit une vingtaine de kilomètres. Compte tenu du nombre de participants, le rythme fût très cool, avec de nombreux arrêts pour resserrer les rangs. Une balade tranquille sous un beau soleil et avec 157 randonneurs (euses), au plus fort de la journée. Record à battre.Au plateau de Chenôve, après avoir été accueillis par le maire, nous eûmes droit à une séance d'étirements, un peu délicate sans bâtons. Ce fut l'occasion de nouer ou de refaire des connaissances, d'échanger des infos d'un club à l'autre, tout au long du parcours. Nous ne sommes pas passés inaperçus, surtout armés du drapeau bourguignon historique.A l'arrivée, la ville de Dijon nous a offert de l'eau, plate ou gazeuse, avec des gougères et des petits pains apéro, avant la photo de groupe sur le parvis.Un dernier coup de tram, et retour à la maison, tout nimbés de notre exploit olympique !

Nous étions 21, ce dimanche, pour une grande boucle irrégulière autour du village de Villers-la-Faye. Partis du cimetière, au sommet du mont Saint-Victor, nous sommes passés alternativement de vignes en forêts et de forêts en vignes, en évitant les carrières de Comblanchien et en passant au-dessus d'Echevronne. Bien que le soleil ait tenté de timides percées, le ciel est resté voilé toute la journée, avec une température
plus qu'agréable. Nous avons gardé un rythme soutenu, qui nous a permis d'arriver jusqu'à la Vierge de Pernand-Vergelesses, peu après midi. Le pique-nique fût arrosé au blanc d'Alsace (bon anniversaire Dominique) et au blanc local, grâce à Sylvette, l'enfant du pays. Le retour, tout aussi sinueux, nous a ramenés d'abord sur Magny-lès-Villers, puis à notre point de départ par quelques derniers zig-zags.

Partis de Fleurey-sur-Ouche pour aller escalader le plateau, jusqu'à surplomber les combes de Lantenay, avant de revenir par la vallée de l'Ouche, c'est un très bel itinéraire, agréablement varié, que nous avons parcouru ce samedi. Le soleil jouait à cache-cache avec les nuages, en nous arrosant périodiquement, mais très modérément. L'ascension jusqu'au dessus de la Combe aux Mammouths fut bien longue, mais nous fûmes bien récompensés par les vues panoramiques sur la
vallée, tout en nuances de vert et de brun, depuis le rebord des
falaises vertigineuses. En fin de matinée, une petite averse de grésil nous a accélérés juste ce qu'il fallait pour gagner Lantenay, après un crochet ensoleillé jusqu'à l'éperon rocheux de la chapelle Saint-Louis. Là, un abri pour randonneurs nous a accueillis, au retour du soleil, juste à temps pour arroser l'anniversaire de Nicole et déguster le gâteau au chocolat de Florence, préparé pour cette occasion. Miam ! La piste agricole vers Velars-sur-Ouche a pu paraître longue, mais la descente aventureuse, le long du viaduc SNCF de la Combe de Fain, l'a
vite fait oublier. Le retour, un poil plus humide, a suivi le chemin des Roches d'Orgères, bien plat et sans difficultés.

Nous étions quand même 26 à braver la météo pessimiste, au départ de la Croix de l'Ormeau, au-dessus de La Rochepot. La matinée fût, il est vrai, bien arrosée : une pluie pas très forte mais continue et froide. Après avoir longé la crête calcaire jusqu'à l'ancienne carrière CBS, nous avons traversé la RN 6 avec prudence, avant de mettre le cap sur la butte pelée du Mont Julliard, que nous avons contournée par l'ouest, pour rejoindre Borgy. De là, nous connaissions bien le chemin pour
escalader la Montagne des Trois Croix par sa face ouest, longeant  des vaches écossaises et des ânes. La brume et les nuages bas masquant la vue sur la vallée de la Dheune et au-delà, nous redescendîmes rapidement profiter des tables de pique-nique, guère abritées, proche du parking. Le GR 7 nous a ramenés à la nationale, avant que nous ne grimpions sur
la chaume de La Rochepot, où Yves nous fit découvrir l'allée couverte, restaurée par ses soins dix ans auparavant, puis une cabotte étroite. Quelques pistes viticoles plus loin, nous retrouvions nos voitures ; l'une d'entre nous, crottée jusqu'à la ceinture, comme si elle avait couru dans la boue (je tais pudiquement son nom).

22 participants de 11ans à 76 ans ont bravé le temps incertain. Pluie, neige fondue et soleil ont agrémenté le parcours en voiture, mais depuis le départ du cimetière de Genay, la météo nous a épargné. Après une première montée vers le mont de Cra, une descente a suivie vers Chevigny, une deuxième montée sur la montagne du télégraphe nous a conduit au mémorial de la résistance où nous avons pu nous restaurer.

Après cette collation, petite surprise dans la descente vers Millery, le terrain détrempé a fait regretter à certains de ne pas avoir les bâtons, une nouvelle montagne nous a surpris (carcasses de 2CV). Beaucoup de glissades, mais pas de chute. L’Armançon  était assez haute et l’eau boueuse, encore un petit chemin boueux et retour aux voitures.

Nous étions 19, ce dimanche, pour parcourir presque 18 km, soit un peu plus que prévu. En effet, en deux endroits, la trace gps importée passait au milieu de nulle part, sans aucun chemin sur tous les fonds de carte consultés. Il a donc fallu improviser, raccourcir d'un côté par des bordures de champs et rallonger de l'autre, malheureusement sur route. Par chance, le temps s'est montré plus favorable que ce que nous craignions, certes humide, parfois pluvieux, mais jamais longtemps. La montée jusqu'au plateau, depuis la route de Vitteaux, fût délicate :
très glissante et encombrée de ronces. Bref, un chemin très peu utilisé. Une fois sur le plateau et hormis les déviations évoquées ci-dessus, ce fût parfois très boueux, mais moins malaisé. Nous avons côtoyé deux fermes sans âme qui vive et n'avons traversé aucun village. La campagne morne et vide ou les bois moussus à perte de vue... Après le pique-nique,  installés à l'abri du vent sur le talus d'une petite route tout aussi vide, le retour fût rapide, en dépit d'une petite erreur de navigation, avec une descente tout aussi glissante que la montée.

Après une route un peu verglacée dans les zones à l’ombre, la randonnée au départ de Précy sur Thil, s’est déroulée sous un soleil radieux. Passage près de l’étang de la folie, Lucenay et la ferme du hameau, on aperçoit de loin le château qui n’est pas abordable. Un petit détour non prévu par Bière les Semur pour aller sur une aire de pique-nique et jeux. Après une restauration bienvenue, nous étions tous serins le long du Serein. Passage par l’ancienne forge et retour aux véhicules.